Pierre HUBERMONT : L'arbre creux (Rieder)
Le problème de l'amour et de la vie sociale, ce récit le résout
pour Hubermont, modestement, silencieusement ; c'est peut-être que le propre des bonheurs
jeunes est de réduire tous les débats à leurs plus simples, plus limpides éléments,
et de détruire toute inquiétude. Bientôt la thèse ne semble plus qu'une candide
négligence et le récit se soutient par sa seule sécurité. Peut-être n'y avait-il pas
eu de débat. |