Je suis enclin à voir en lui une figure vraiment exemplaire de la poésie; comme une des figures les plus émouvantes que nous ayons pu connaître. Nous avons tous été frappés par ce destin tragique qui s'est affirmé d'année en année, par cette solitude qu'il y avait en lui-même, d'abord. Je ne connais pas d'écrivain qui ait présenté ce caractère. |
Ce témoignage de Marcel Arland est paru dans la
revue Cahiers des saisons, hiver 1964, éd Juliard.