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A gauche, à
Lakanal, Armand Robin porte l'insigne des khâgneux.
Au centre, photo prise à Bruxelles en 1935.
A droite, le jour de son mariage, en octobre 1940. |
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La classe des khâgneux
de Lakanal en 1929-30.
Armand Robin est au 2e rang à droite. Il est le seul à porter des fausses manches!
Document aimablement confié par Mme Annie Guéhenno. |
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La classe des khâgneux de Lakanal en
1930-31.
Armand Robin se trouve à l'avant dernier rang, 2e à partir de la gauche.
Au 1er plan au centre, Jean Guéhenno.
Document aimablement prêté par Mme Annie Guéhenno |
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Photo parue dans le Figaro
littéraire du 3/11/1942 dans l'article du même jour intitulé Cinq
minutes avec Armand Robin, et signé J.F. |
Portrait anonyme, le seul réalisé du vivant de Robin. Il a
été publié fin 1942 ou début 1943 dans La jeune poésie et ses harmoniques.
Robin y figure au côté de Guillevic et d'Audiberti. |
Photo parue dans le magazine Arts
du 24-30avril 1953. Article de Marcel Bisiaux, intitulé : notes pour mémoire
: Armand Robin. Il y était joint en encadré un texte présenté comme
inédit : Pour l'honorer, ils le mangèrent. |
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En 1954 en
Bretagne centrale, dans la région du Faouët. |
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Armand Robin au poste de radio : photo de Claude
Roland-Manuel |
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La dernière photo
d'identité. |
Sans doute la dernière photo: extraite de l'émission de TV "en français
dans le texte", août 1960. Pour
voir la vidéo |
En de très vieux temps, où je parus exister,
On prétendit m'avoir rencontré.
Me faufilant à rebours dans les âges,
J'ai empoigné, secoué les années où je fus dit en vie,
Attendant qu'en tremblotement de poussière mon avant-vie ait dansé
J'ai dansé dans la poussière toutes les danses de
l'avant-vie@"
Je ne rendrai pas compte de la vie
Qu'on dit avoir été ma vie.
Abusivement inséré en vie,
Contre toute mon évidence à partir de 1912 je fus dit en vie.
On établit contre moi des constats de présence
Je fus pris en flagrant délit de vie.
Telle est la légende bien établie.
Le Monde d'une voix
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