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Armand Robin :

les poèmes satiriques de La Nation Française

1956 - 1959


                  

Depuis la fin de la guerre, Armand Robin  diffuse son Bulletin des écoutes des radios. L'un de ses clients les plus fidèles depuis l'origine est le Comte de Paris. On peut légitimement penser qu'il a fait connaître à Armand Robin les milieux royalistes. En 1956, il accepte de participer à  La Nation Française hebdomadaire favorable au comte de Paris de Pierre Boutang, qui vient de naître en octobre 1955.   Issu d'Aspects de la France, ce journal est nettement marqué à droite. Le confirment les sujets abordés et ses principaux collaborateurs : Philippe Ariès, Gabriel Marcel, Gustave Tibon, Jean de la Varende, Antoine Blondin, Roger Nimier, Jérôme Carcopino, etc.... Quoique dans la lignée de Maurras, il réfute tout anti-sémitisme et  prône un renouvellement des thèses royalistes.  Pierre Boutang - qui dirige aussi Arts et La Parisienne - n'en fait pas mystère, mais prétend avoir réuni une équipe diverse et apolitique : Elle " se propose de rajeunir et de rénover le royalisme, de défendre un nationalisme moderne, en s'appuyant sur les faits du temps présent, en appelant de ses vœux la constitution d'un nouvel esprit public et d'un « parti des politiques », en accueillant sans ostracisme les Français de droite et de gauche qui souhaitent agir selon le seul intérêt national "(Wikipédia). Défenseur de l'Algérie française en 1955, le journal se rallie à la position de De Gaulle en 1958.
Comme à son habitude, il ne participe pas aux grands débats politiques, ni ne publie aucun article en faveur de la tendance du journal, et de toute façon sa participation - essentiellement satirique et sans grande portée - sera minimale : 7 articles en 3 ans.
André Ady : Grain sous la neige
La veuve du capitaliste
Bébé d'A. et B.
Le méchant boeuf du Nivernais
Le mois de mai de la France Mao sans tao
G Lambrichs Les fines attaches
Histoire du maréchal qui se fit facteur...




 

     Poésie personnelle
          Ma Vie Sans moi